La thrombolyse permet de dissoudre le caillot en moins de deux heures. L’usage de cette technique thérapeutique est ainsi très limité. Il est habituel de les séparer en causes générales et causes locorégionales (Le pronostic est favorable dans la grande majorité des cas après mise en route du traitement anticoagulant. Les collatérales de ce système sont :Le tronc basilaire se termine par les deux artères cérébrales postérieures.Leur qualité rend compte de la variabilité du tableau clinique d’un patient à l’autre pour une même occlusion artérielle.Il s’agit d’un cercle d’anastomoses entre le système carotidien (antérieur) et le système vertébrobasilaire (postérieur).Les anastomoses entre l'artère carotide interne (ACI) et l'artère carotide externe (ACE) se font dans l'orbite entre l'artère ophtalmique (branche de l'artère carotide interne) et l'artère faciale (branche de l'artère carotide externe). svp , parlez moi de votre experience j'ai besoin de comprendre . Comme dans les recommandations 2003, il est reconnu qu'aucun examen auxiliaire ne peut démontrer l'absence de débit sanguin dans la mort isolée du tronc cérébral.

Ce traitement peut être remplacé par l'utilisation d'une contre-pression pneumatique intermittente (traite- ment de référence en cas d'hémorragie intracérébrale).Le diagnostic étiologique commence par l’imagerie cérébrale qui seule permet la distinction entre infarctus cérébral et hémorragie intraparenchymateuse (Ils ont pour objectif de rechercher les différentes causes.Elle repose sur la prise en charge des facteurs de risque d’AVC.La prévention secondaire dépend de la cause de l’infarctus cérébral.Prise en charge des facteurs de risque vasculaire :Traitement antiagrégant plaquettaire, qui réduit le risque de récidive d'infarctus cérébral de 20 % environ :Prise en charge chirurgicale des sténoses carotidiennes symptomatiques serrées :Elle repose avant tout sur le traitement de l’étiologie :La possibilité d'introduire un anticoagulant à dose curative chez un patient aux antécédents d'hémorragie intracérébrale doit être évaluée au cas par cas en fonction de l'étiologie identi- fiée de l'hémorragie intraparenchymateuse.Les objectifs du suivi post-AVC sont les suivants :Les thromboses veineuses cérébrales, ou thrombophlébites, sont rares (< 2 % des AVC) mais doivent être bien connues car elles sont accessibles à un traitement anticoagulant.Elles touchent un ou plusieurs sinus veineux, exceptionnellement une veine corticale.Elles peuvent provoquer ou non un infarctus cérébral, souvent avec composante hémorragique, dont la topographie ne correspond pas à un territoire artériel.La triade céphalées-crises d’épilepsie-déficit neurologique focal est fortement évocatrice du diagnostic.

Un AVC du tronc cérébral est habituellement de petite taille, mais peut causer des symptômes importants.Le tronc cérébral est la région du cerveau qui relie physiquement et fonctionnellement l’activité cérébrale de haut niveau avec le reste du corps. D'autres médicaments peuvent être prescrits après identification de la cause de l'AVC : traitement du diabète, de l'hypertension, ou d'un excès de cholestérol.Plus de la majorité des AVC pourraient être évités, quels que soit l'âge et le sexe, en agissant sur des facteurs de risques. En effet, 1 personne sur 10 dont l’AIT n’est pas pris en charge (en urgence) est victime d’un AVC dans la semaine qui suit. Environ 150.000 AVC surviennent chaque année en France. Un transfert rapide du patient, dans un délai le plus court possible, vers un établissement hospitalier disposant d'une UNV permet une confirmation de l'accident vasculaire cérébral grâce à l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et/ou un Scanner et de débuter le traitement le plus précoce possible.Le passage dans une UNV est fondamental quelque soi l'âge, le sexe, la cause et la sévérité de l'AVC, et le traitement envisagé. Avec les traitements actuels, le délai pour intervenir est seulement de quelques heures. Environ 40 000 personnes présentent chaque année en France un accident ischémique transitoire (AIT) pouvant entraîner un accident vasculaire cérébral (AVC) s'il n'est pas pris en charge immédiatement. En fonction de la gravité de l’AVC et de ses causes le temps d’hospitalisation est très variable.Si une artère est bouchée, un seul traitement est aujourd’hui approuvé : la thrombolyse. Que faire en cas d'AVC ? Rappel des signes avant-coureurs et des conséquences avec notre médecin. Le bilan étiologique sera iden- tique dans les deux situations (cf. L’AVC ischémique (ou infarctus cérébral) : il représente près de 80% des cas constatés et résulte le plus souvent de l’obstruction d’une artère par un caillot sanguin.

Conséquences

Conséquences, notamment, d’une occlusion du tronc basilaire, ils se révèlent par : une atteinte motrice bilatérale; au maximum un locked-in syndrome par infarctus bilatéral du pied du pont (ou protubérance) : quadriplégie avec diplégie faciale (seul mouvement possible : verticalité des yeux) mais conscience normale; un coma pouvant mener …