C’est quoi ce charabia ?Cette divinité touche notre âme, merci. Merci par avance.Bonjour! I went for a literal translation so you could understand the vocabulary. Et pour un fan, ton commentaire est assez osé ! De plus le vocabulaire est riche, adapté et magnifique, et ça manque parfois dans certaines poésies.Fan2poesie, votre commentaire est navrant et ne va pas vraiment avec votre pseudonyme à mon avis, enfin remarque si ça ne vous touche pas pourquoi pas, mais disons que votre commentaire sied pas vraiment à une critique de poésie.L automne me semble il est une longue et terrifiante descente vers les abîmes de l’hiver. car l’EAF approcheBonjour Amélie, j’ai remarqué la pertinence de tes analyses.C’est un commentaire que je compte faire, mais peut-être pas avant quelques mois car j’ai un emploi du temps chargé.Désolé Camille, il m’est impossible de faire de l’aide aux devoirs par email. Here is my own translation of the French poem. A moins qu’il ne s’agisse d’un choix de sa part ….Gabriel Fauré ajoute sa « vision musicale » dans une mélodie troublante. J’entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentissant sur le pavé des cours. : redondance du verbe tomber, utilisé pour le bois dans le premier quatrain et pour la bûche dans le troisième . Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ;Magnifique poésie sépulcrale ! je trouve que votre blog est très intéressant et utile pour mes révisions de bac de Français c’est pourquoi j’ai quelque questions à vous posez.Excellente étude des sonorités, de la musicalité du poème, entre autre.Pourriez- vous s’il vous plait le faire au plus vite ? Tu peux également retrouver mes conseils dans mon livre Bonsoir Amélie, déjà un grand merci pour cette analyse très critique et très juste. Ce chant d’automne monotone (les deux termes sont d’ailleurs liés par la rime aux vers 13 et 15) est marqué par la régularité de l’alexandrin et l’assonance en « ou » qui renforcent la sensation de bercement : « nous », « courts », « cours » (v. 1 à 4), « Tout », « rouge » (v. 5 et 8), « J’écoute », « sourd », « tour », « sous les coups », « lourd » (v. 9 à 12), « cloue » (v. 14), « Douce », « tout aujourd’hui », « ni votre … Voici un commentaire du poème « L’Horloge » de Charles Baudelaire extrait de la seconde édition des Fleurs du Mal parue en 1861.. L’Horloge, Baudelaire : introduction « L’Horloge », dernier poème de la section « Spleen et Idéal« , appartient au cycle de poèmes sur le temps, parmi lesquels « L’Ennemi », « Chant d’automne » ou « Le Goût du néant ». Chant d'automne - Baudelaire Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts! J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentssant sur le pavé des cours. I. Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts ! En ce chant d’automne est-il représentatif du spleen baudelairien…. Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Enfin c’est rien du tout vraiment super boulot (complètement monstre !! Personne ne peut y échapper. Merci pour ce merveilleux site, les poèmes y sont géniaux !J’aime quand je ne comprends rien, et la, en occurrence, je suis servi ! montre plus Chant d’automne 885 mots | 4 pages. J'écoute en frémissant … C’est fabuleux… Merci.J’ai une préférence pour la première partie. Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. Je tiens juste à te faire remarquer que tu as laissé passer une coquille dans le grand C- Victoire de l’idéal à la fin fin du paragraphe I, une apostrophe à la place d’une guillemet. Thèmes : - Spleen et Idéal - Amour - La mort - Les saisons Chant d'automne est constitué de 7 quatrains, avec des vers en alexandrin, et des rimes croisées.

Comme un grand voile noir qui recouvre tout notre être. Magnifique.Des mots justes. Charles Baudelaire. All suffocating And pale, when The hour chimes, I remember Je te haie vieille sorcière sous tes airs de princesse avec ses si belles couleurs qui te parent tu n’es en vérité qu une briseuse d’âme.Jamais un automne ne se passe sans que « chanson d’automne » ne se déclenche dans ma tête au bruit cadencé d’une tronçonneuse qui rythme la coupe des troncs de fayards nouvellement sortis de la forêt. Une descente inéluctable vers les bas fonds. La relève où est elle? Mes progénitures adorent votre site si splendide soit-il! Chant d'automne I Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts ! Fan2poésie, si tu l’es vraiment, tu ne peux pas dire ça d’un poème comme celui-ci ! Introduction Chant d'automne a été publié en 1857 dans la section "Spleen et Idéal" recueil Les fleurs du Mal de Charles Baudelaire. Baudelaire nous dit qu’il cesse de vivre lorsque les rayons de soleil ne sont plus là; même l’amour lui semble moins important. Un poeme impressionnant.Magnifique poème où Baudelaire exprime toute sa sensibilité, particulièrement sa tristesse.Baudelaire fait ici me semble t’il l’apologie de l’été et du soleil qui pour lui est source de vie; l’automne et l’hiver serait pour lui le rapprochement avec la mort puisque tout bruit suspect est relié à la mort (construction d’un cercueil). Cette sorte de spleen qui s’empare de nous dès que les jours diminuent. entre les deux univers, recherche t-il l’unité harmonieuse du monde ? Belle fraternité avec Charles Baudelaire.Magnifique, j’adore ce poème, la première partie notamment, pour moi la poésie se ressent avant tout, et là on est servie, quand l’automne vient, ou que c’est l’hiver, que je regarde le paysage, c’est à cette poésie que je pense, la poésie doit toucher notre âme et nos sentiments avant tout à mon avis, elle transmet des émotions. The long laments Of autumn’s Violins Wound my heart With a monotone Fatigue. Op.5 N°1. Les vers s’enchaînent avec une facilité et une justesse déconcertantes. Dommage si ç’est le cas.Quels beaux poèmes ! On a l’impression qu’il se replie sur lui même en attendant de nouveau la belle saison, celle qui la fera revivre s’il passe l’écueil de cet hiver maudit.Sublime poème… ils ont tous disparus.