Ne cherchez pas le climat. Joseph Ribas), La …

Une étude le montre, avec un recul d’à peine plus de 50 ans.

Vernet-les-Bains est une des communes les plus marquées par l’événement avec 71 pavillons rasés et 5 hôtels en partie détruits.

Les infrastructures y ont aussi beaucoup souffert, mais le bilan est beaucoup moins bien connu que du côté français, où il y eut une cinquantaine de morts, dont la moitié à Amélie-les-Bains.

Mais elle ne servirait de rien si elle n'était la condition première de notre relèvement. C’est la température qui fait varier le taux de CO2 , pas l’inverse.

Comme le souligne l’AZI (2008), sans le barrage de Vinça les communes de la plaine littorale (Bompas, Villelongue, Sainte Marie et Canet) auraient été submergées.

Le cas évoqué de l’Ouvèze à Vaison-la-Romaine est parlant : bassin versant totalement boisé ou presque.A Trebes c est la oui il y a la société Monsanto et ses produits chimique entreposés687 litres d’eau tombés sur chaque mètre carré du sol. À Perpignan, calibrage et endiguement de la Têt sont prévus pour un débit de 2 000 m3/s. Le terrible aiguat de 1940 a conduit bien des chercheurs a explorer le passé de la région.

Même remarque pour 1940 (3620 m3/s).L’aïguat* de 1940 (*terme Catalan pour désigner une crue importante) est la référence actuelle en termes d’inondation exceptionnelle pour le bassin versant de la Têt. Les chroniques de crues, observées depuis 1951, ne rendent pas compte de tendances bien nettes, sinon d’une sensible diminution des événements au moins équivalents à un débit de 194 m3/s (à l’aval du barrage de Vinça). Dans cette localité, la gare fut rasée, ainsi que des hôtels et habitations.Au total, ce furent 200 immeubles qui s’écroulèrent, dont une soixantaine à Vernet-les-Bains.

Ils pourraient jouer un petit rôle atténuateur, mais somme toute très négligeable.Leur histoire de climat c’est de l’enfumage comme les vaccins , le climat tourne en boucle comme une horloge depuis toujours a quelque virgules prèsMais pourquoi donc aujourd’hui nos ponts s’effondrent, etc... ?Et vu que ces marchands sont menteurs, fourbes, manipulateurs, ils sont obligés de trouver toujours des excuses, et en l’occurrence le climat !Jusqu’à quand va t’on accepter de se faire violer nos esprits et manipuler par ces dégénérés ? Avec un débit maximal d’environ 850 m3/s à Perpignan (période de retour 10 ans) cette crue est le fruit d’une contribution forte du bassin aval (avec néanmoins une contribution faible de la part du Boulès) en particulier au regard du fonctionnement en transparence du barrage de Vinça dont les lâchures sont restées comprises entre 90 et 126 m3/s.

Mais à une certaine époque les plaines n’étaient pas aussi bétonnées ...L’article est bien structuré,clair et précis.

A l’approche des des 80 ans de l’aiguat de 1940, inondations historiques dans le Nord de la Catalogne, la préfecture de Perpignan a organisé une vaste répétition générale afin d’anticiper les risques, dans les communes de Bages et Montescot. Le village de Mantet n’est plus habitable, à Olette la voie ferrée est emportée sur plusieurs centaines de mètres, à Villefranche des fermes et des champs sont emportés.Dans le bassin supérieur de la Têt, ce sont les affluents rive droite (Mantet, Rotja) qui ont connu les plus fortes crues alors que la montée fût modérée rive gauche. Car les averses méditerranéennes typiques ne présentent pas dans leur rythme horaire une puissance relativement uniforme et soutenue pendant douze, vingt-quatre, quarante-huit heures et plus, comme pour les pluies océaniques, génératrices de crues célèbres […]. L’article l’explique très bien !

La retenue de Vinça lamine la crue de 1130 m3/s à 200 m3/s mais les affluents portent ce débit à 1115 m3/s à Perpignan (soit une différence > 800 m3/s).