Mais ces dieux n'ont pas tous figure humaine. Belenus (also Belenos, Belinus, Bel, Beli Mawr) is a sun god from Celtic mythology and, in the 3rd century, the patron deity of the Italian city of Aquileia.Called the "Fair Shining One" (or "The Shining God"), he was one of the most ancient and most-widely worshiped Celtic deities and is associated with the ancient fire festival and modern Sabbat Beltane. Pour cela, nous avons besoin de rédacteurs : Vous avez très probablement reconnu les fameuses expressions que nos irréductibles ancêtres gaulois, Astérix, Obélix, et En réalité, cela pourrait se deviner. SUR FOND sonore de Maria Callas chantant Casta diva, le grand air de Norma – qui raconte l'histoire d'une druidesse, le visiteur est accueilli par un tableau de Henri-Paul Motte, un peintre pompier de...C'est pour tordre le cou à toutes ces fadaises que Matthieu Poux, archéologue, sous le commissariat scientifique de Christian Goudineau, professeur au Collège de France, a voulu monter «Par Toutatis !» au Musée de la civilisation gallo-romaine de Fourvière, à Lyon*. Toutatis provient de Teutatès, de teuta la tribu et tato le père. je passe directement par le courriel car il m'a été impossible de me connecter sur le site. : 04 72 38 49 30. http://www.lefigaro.fr/medias/2006/07/31/20060731.FIG000000021_660_1.jpgIl n’y a actuellement aucun commentaire concernant cet article. Pourtant – « par Toutatis, par Bélénos ! Par Belenos nous sommes les Gaulois Par Belenos nous sommes des guerriers Nous entretenons notre force Par le sang et par les festins Du haut des … Une exposition remarquable, dans une mise en scène spectaculaire, qui reprend tous les acquis obtenus par la recherche archéologique au cours des vingt-cinq dernières années.Beaucoup plus sérieux que le tableau, et beaucoup plus beau, est le Chaudron de Gundestrup, un vaste récipient d'argent trouvé au Danemark et qui a servi de bible aux archéologues pour tenter de trouver une explication aux étonnants vestiges retrouvés dans la fouille des sanctuaires. Les leurs sont sujets à métamorphoses, passant du règne végétal à l'animal La seconde partie de l'exposition présente une reconstitution du premier sanctuaire gaulois entièrement étudié par Jean-Louis Brunaux, celui de Gournay-sur-Aronde (Oise). Toutatis est le dieu gaulois schématiquement qualifié de « dieu du ciel ». La première montre l'art consommé des métallurgistes pour cacher le visage des dieux dans des motifs ornementaux, grâce à ce que l'on nomme le «style végétal continu». L'exposition en présente un.Plusieurs maquettes d'un sanctuaire urbain, celui du Titelberg (Luxembourg), de l'oppidum auvergnat de Corent, des reconstitutions d'Acy-Romance, d'un portique à têtes coupées de Nîmes, des vidéos grossissant les figurines cachées dans les pièces d'orfèvrerie ou aidant à décrypter le Calendrier de Coligny, complètent cette exposition, à voir absolument.20060731.FIG000000021_660_1.jpg «Par Toutatis !» jusqu'au 7 janvier 2007, au Musée de la civilisation gallo-romaine, 17, rue Cléberg, 69005 Lyon. Il s'agit d'une grande table de cuivre de 150x90 cm, qui figure soixante mois lunaires et les mois intercalaires, dont les noms sont rédigés en grec.La suite de l'exposition se compose de deux grandes parties : les dieux et les rites. Dans le midi, sur les oppida d'Entremont, de Roquepertuse, à Nîmes, on a retrouvé des linteaux dans lesquels des cavités étaient ménagées pour y contenir les crânes des ennemis. Tél. Au centre, un bois sacré et une fosse couverte d'une toiture sur piliers de bois, dans laquelle se décompose un taureau sacrifié, offert aux puissances chthoniennes.Mais il y a plus macabre, comme ce crâne parfaitement nettoyé, enduit d'huile de cèdre et retrouvé dans une habitation de Montmartin (Oise). Dans les merveilleux bijoux d'or et d'argent de toutes provenances : torques, bracelets, monnaies, pièces de harnachement de chevaux – présentés dans une rotonde symbolisant le monde en perpétuel mouvement de la cosmogonie celtique.Insaisissables dieux gaulois, dont on connaît à peine les noms. La religion de nos lointains ancêtres reste encore très mystérieuse… Nous ne savons, en vérité, pas grand-chose de certain sur les dieux des Gaulois. Car les dieux ne doivent pas être représentés, mais ils sont partout pour qui sait les voir. Bélénos, Toutatis, Lug, qui est sans doute à l'origine du nom de Lugdunum. Les Gaulois observaient donc le ciel et le connaissaient bien, non pas de crainte qu'il leur tombe sur la tête mais pour établir une cosmogonie savante et élaborée, fondement de leur religion, comme en témoigne, un peu plus loin dans l'exposition, le «Calendrier de Coligny» (Ain). Il est rapproché de Mars et de Mercure chez les Romains. Le bord est orné d'une série de personnages dans lesquels on reconnaît le dieu Cernunnos, aux bois de cerf, des hommes jouant de ces grandes trompes appelées Mais le plus intéressant est au fond du chaudron. Toutatis, Bélénos, Ésus, Taranis… Les noms de certains dieux gaulois sont parvenus jusqu’à nous. Ses fonctions principales concernent la médecine, les arts. Bélénos signifie « celui qui brille, resplendissant ». La mort règne en maître dans ces enclos, bordés de fossés remplis de dizaines de milliers d'ossements animaux et d'armes tordues, brisées.

Les Gaulois riaient de voir les dieux romains figurés comme tout un chacun. En guise d'ombilic, un taureau, un dragon, un chien et un soldat en relief. Il est a rapprocher d'Apollon dans le panthéon grec. En réalité, cela pourrait se deviner. Il y en a deux types principalement : Voilà qui clôt cet omnilogisme, mais j'espère vous donnera envie de ré-ouvrir un album d'Astérix, pour parfaire votre connaissance de la civilisation gauloise Omnilogie est un site collaboratif ouvert à tous : chaque jour, nous faisons paraître un court article de culture générale.