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On connaît assez bien l’origine des représentations les plus connues de Mozart jeune. Annonces immobilières Un portrait de Mozart âgé de 13 ans, l'un des rares tableaux peints de son vivant et faisant encore partie d'une collection privée, va être mis aux enchères par Christie's le 27 novembre à Paris pour une estimation entre 800 000 et 1,2 million d'euros, a annoncé mardi la maison de ventes.Le tableau, attribué au maître véronais Giambettino Cignaroli et daté de janvier 1770, a été peint à la suite de l'énorme succès d'un concert d'orgue de l'enfant prodige à Vérone cette année-là.Le tableau, qui montre le virtuose précoce au visage sérieux devant un clavecin, portant un costume rouge vif, une perruque blanche et dévisageant le spectateur, Plus intrigante encore, la partition qui se trouve devant lui et qui a fait l'objet de nombreuses tentatives de déchiffrage: Les représentations les plus connues de Mozart jeune sont un dessin au Musée Carnavalet le montrant à l'âge de 7 ans au piano avec sa famille, ainsi qu'un tableau de lui à 6 ans, attribué à Lorenzoni et appartenant au Mozarteum à Salzbourg, sa ville de naissance.En tournée dès décembre 1769 avec son père en Italie, passage obligé de tous les peintres et musiciens à l'époque, il va enchaîner plusieurs concerts dans des villes dont Vérone où Dans sa lettre, le père de Mozart rapporte que Pietro Lugiati, percepteur général des impôts à Venise, a décidé de faire la commande du tableau, qui a été peint en deux séances successives.En bas du tableau figure un texte en latin relevant la précocité de l'enfant, La maison Christie's affirme qu'elle n'a pas la preuve formelle que le peintre soit Giambettino Cignaroli.Le portrait vient du grand pianiste Alfred Cortot dont la collection a été dispersée chez Christie's le 7 octobre.Redécouvert en 1865 par Léopold von Sonnleithner, mécène de Beethoven et de Schubert, le tableau a été montré quelques rares fois au Carnavalet et à Salzbourg.Un portrait de Mozart âgé de 13 ans, qui faisait encore partie d'une collection privée, va être mis aux enchères par Christie's le 27 novembre à Paris.

Redécouvert en 1865 par Léopold von Sonnleithner, mécène de Beethoven et de Schubert, le tableau a été montré quelques rares fois au Carnavalet et à Salzbourg. Ce jour-là, l’adolescent impressionne Pietro Lugiati, percepteur des impôts à Venise, qui va passer commande du tableau pour en garder un souvenir. Adepte de déco insolite et originale, vous allez aimer ce tableau moderne qui rend hommage à l'immortel Mozart. Se souvenir de moi Bénéficiez gratuitement de fonctionnalités et de services additionnels.

Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Ce message s’affichera sur l’autre appareil. 75014 Paris 14e Dans sa lettre, le père de Mozart rapporte que Pietro Lugiati, percepteur général des impôts à Venise, a décidé de faire la commande du tableau, qui a été peint en deux séances successives. Un portrait de Mozart âgé de 13 ans, l’un des rares tableaux peints de son vivant et faisant encore partie d’une collection privée, va être mis aux enchères par Christie’s le 27 novembre à Paris pour une estimation entre 800 000 et 1,2 million d’euros (environs 1,2 et 1,8 million de dollar canadien), a annoncé mardi la maison de ventes. Tableau posthume de Barbara Krafft, en 1819. i. Depuis sa création en 1791, leRequiem en ré mineur de Mozart est entouré d’une aura de légendes et de mystères.

« Ce qui est extraordinaire dans ce tableau, c’est qu’on retrace très précisément les circonstances de la commande; ça arrive très peu dans le monde de l’art », a précisé Mme Centner.

Vous devez être membre pour ajouter un commentaire. En 1776, Mozart qui a alors vingt ans, décide de quitter Salzbourg.Mais le prince-archevêque refuse de laisser partir son père, et lui impose de démissionner de son poste de maître de concert.

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Notre équipe nous offre ici une version inédite, originale et surprenante en look punk de ce célèbre personnage. Illustration (Flickr / Royal Opera House Covent Garden) Connectez-vous pour conserver cet article et le lire plus tard. Plus intrigante encore, la partition qui se trouve devant lui et qui a fait l'objet de nombreuses tentatives de déchiffrage: En tournée dès décembre 1769 avec son père en Italie, passage obligé de tous les peintres et musiciens à l’époque, il va enchaîner plusieurs concerts dans des villes dont Vérone où « il provoque l’émerveillement de l’élite locale ».