»Extrait du registre des baptêmes de la paroisse de Cuverville (source revue Document indiquant que le soldat Guynemer à bord d'un MS12, est parti d'Avord à Charles Bonnard avait pour mécanicien Charles Guerder et lorsqu'il partit pour le front d'orient à Salonique, Guerder devint le mécanicien de Guynemer qui hérita du . Le Plus étonnant, un autre utilisateur du SPAD S.VII fut l'Allemagne, plusieurs appareils intacts étant capturés par les Allemands et austro-hongroises et réutilisés au combat. Restera le plus pur symbole des qualités de la race : ténacité indomptable, énergie farouche, courage sublime.

« Le sénat, s'associant à l'hommage rendu par le Gouvernement et la Chambre des députés pour glorifier, par une inscription au Panthéon, la mémoire du capitaine Guynemer, héros de l'air, salue en sa personne l'esprit de sacrifice, d'abnégation et d'énergie de tous les combattants de toutes les armées de la République qui, depuis plus de trois ans, sont tombés pour la patrie. Son armement se composait d'une unique mitrailleuse Vickers tirant au travers de l'hélice au moyen d'un dispositif de synchronisation "Birkigt". Marine Nationale Avion De Ligne Cigogne Aviation Militaire Avions De Chasse Armée De L'air Rafale Patrouille Guerre Mondiale » Le premier appareil livré à une unité de première ligne fut le nº S.122 affecté au Sergent Jean Sauvage de la N.65, suivis par le S.113, attribué à Les forces aériennes alliées furent elles aussi équipées du nouveau chasseur. Sa postérité vaut à Georges Guynemer de devenir le héros emblématique de l'École de l'Air, à Par sa mère, Julie Noémi Doynel de Saint-Quentin, issue d'une famille noble, Georges Guynemer est un descendant du roi de France Le capitaine finit par accepter de l'instruire, en situation irrégulière. Fait notable, il survit huit fois après que son avion a été abattu. Selon un communiqué de la Croix-Rouge américaine sur le front français du « Des informations reçues par la Croix-Rouge disent que Guynemer a été tué d'une balle dans la tête au nord de Poelcapelle, sur le front d'Ypres.

Mais il n’y avait plus rien. À l'ordre de l'armée, cette ultime citation date du Cette citation fameuse a été rédigée par Paul Canteloube de MarmièsDepuis 1924, elle est lue dans toutes les bases aériennes françaisesCette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Au moment de sa mort, Guynemer avait totalisé 53 victoires homologuées et avait survécu sept fois après avoir été abattu, bien qu'il n'eût jamais embarqué de En 1938, vingt-et-un ans après la disparition de l'as, la carte d'identité de l'aviateur, retrouvée sur sa dépouille mortelle et reproduite par la presse allemande fin 1917, fut rendue à la France par les autorités du Reich. »

Sans aucun doute, il était d'une classe bien supérieure. La vie de Georges Guynemer n'aura été qu'une épopée. Ainsi « La Chambre invite le Gouvernement à faire mettre au Panthéon une inscription destinée à perpétuer la mémoire du capitaine Guynemer, symboles des aspirations et des enthousiasmes de la nation.

Héros légendaire, tombé en plein ciel de gloire, après trois ans de lutte ardente. L’épave de son Spad XII ne fut jamais officiellement retrouvée. Animé de la foi la plus inébranlable dans la victoire, il lègue au soldat français un souvenir impérissable qui exaltera l'esprit de sacrifice et provoquera les plus nobles émulations. Celui-ci le vit, alors qu'il semblait être trop tard. Le sous-officier allemand B... se rendit avec 2 hommes à l'endroit où s'était produite la chute. D’après le témoignage de son co-équipier, Jean Bozon-Verduraz, la trace du capitaine Guynemer se perdit quand ce dernier fonça sur un Rumpler, un avion d’observation allemand. Le Dès son arrivée aux Cigognes, il casse des avions à l'atterrissage ce qui hérisse son chef d'escadrille le capitaine En récompense de ce quadruplé il est promu officier de la Le SPAD XII n'était pas un avion pour un pilote novice. Ni sa dépouille.