Il a déposé une plainte contre ma personne, une semaine avant que je parte en Italie.

Mit dem Transfermarkt-„Groundhopping-Tool“ kannst Du die Partien aufzählen, die Du besucht hast. J’ai été acquitté par la Fifa et l’UEFA à Berne, ça suffit. "Ça se passe sur un coup de pied de coin en faveur de Benfica du côté de Manu Amoros. "Si on dit que tu es malhonnête, que tu as fraudé, les clients peuvent penser: 'On vient depuis 36 ans chez un voleur'. Halbfinale - Rückspiele | Alors tu es un tricheur, souffle l’intéressé. Peut-être par Benfica? Sauf que, par manque de réalisme, les Olympiens n’avaient réussi à l’emporter que 2-1. Il y avait l’arbitre central, il y avait deux juges de touche, même pas un quatrième homme, et certainement pas le VAR. "On parlait de 40 millions de francs belges à ce moment-là (l’équivalent d’un million d’euros, ndlr), note-t-il. Pas tous les jours mais de temps en temps. Il n’y avait pas de brutalité dans le match.


Je n’avais pas besoin de l’arbitrage pour gagner ma vie, c’était encore un hobby, j’aimais bien ça. Il a encore sa main peut-être? "Pour Marcel Van Langenhove, l’action de la 83e marque le début des problèmes. Il ne l’a pas brûlée, bon, voilà.
20 ans après la demi-finale perdue de la Coupe des clubs champions par l'OM face à Benfica; la main de Vata fait encore parler. L’ancien officiel a accepté de témoigner pour Evoquer ce Benfica-OM d’avril 1990, c’est déjà évoquer un contexte spécial pour le football français. De l’engagement, mais ce qu’il faut, dans les règles. "Malgré les protestations marseillaises dans les secondes suivant le but de Vata ("Ils doivent chercher le coupable, c’est facile de lever la main"), Van Langenhove assure ne jamais avoir envisagé de revoir sa décision.

Je ne me cache pas." Au lieu de ça, j’ai reçu des menaces de mort à Toulon, où je suis allé pendant dix ans (arbitrer le Festival international Espoirs, ndlr)." Si vous n’avez pas de stress, ce n’est pas bon…" Mais l’arbitre central, qui a déjà une solide expérience, ne se sent pas plus tendu que ça. RTL avait fait un reportage quand j’étais revenu de Suisse, il y avait plein de monde devant le magasin pour venir m’applaudir, c’était fantastique.

"Pour expliquer la validation du but à chaud, l’arbitre rappelle sa position sur la pelouse, et celle des différents acteurs. "Menacé en privé, l’ancien officiel a en outre dû affronter des accusations publiques de corruption. Mais sur ce match, il y avait peut-être dix caméras maximum, alors que maintenant il y en a vingt-cinq. Que l’ex-homme au sifflet est encore capable de décrire avec précision. Pris par l’enjeu, ou trop concentré sur la conservation de son maigre avantage, l’OM bafouille son football, joue bas, et parfois avec le feu. "C’était du genre: 'Si je te vois, je te mets une balle', et tout ça, soupire Van Langenhove. En face, c’est le club numéro 1 au Portugal, finaliste de la compétition pas plus tard qu’en 1988. Alors quand on a l’occasion de le casser, c’est le moment. Van Langenhove, lui, arbitrera une saison de plus avant de raccrocher. "Ça se passe sur un coup de pied de coin en faveur de Benfica du côté de Manu Amoros. Et là, il y a quelque chose mais je ne sais pas, je n’ai rien vu donc je ne peux rien dire. "Un terme qui hérisse le poil du septuagénaire. "Après le match, on était en haut à la réception, et on était encore à discuter si c’était une main. "A ce qu’il parait, il est en Chine ou je ne sais où (en Australie, ndlr), lance-t-il avec un brin de dédain. Je n’aime pas les tricheurs. Mais je suis quand même allé à la Coupe du monde. Mais je me sentais normal.

"C’est triste, c’est désagréable comme tout, et j’aurais préféré que tout soit correct… Mais quand vous voyez les images, vous voyez mon placement, je suis masqué par six joueurs, donc ce n’est pas ma faute, martèle-t-il. C’est arrivé deux ou trois fois. Ce n’est pas mon ami…"Sans le dire clairement, le Belge aurait aimé que l’attaquant de Benfica fasse amende honorable après le match, reconnaisse sa duperie et permette à tout le monde de clore le chapitre. Il a interpellé le gouvernement belge, c’était presque la guerre entre la France et la Belgique…" Pour l’arbitre, la lettre du chef du gouvernement était avant tout un coup politique, et un coup de pouce à un élu du même parti: Bernard Tapie, le président marseillais, que le Belge peine encore à nommer. Il ne sait pas non plus. Il évoluait au poste d'attaquant Biographie. Non. Ce n’est pas une tricherie, ce n’est même pas une erreur. RTL avait fait un reportage quand j’étais revenu de Suisse, il y avait plein de monde devant le magasin pour venir m’applaudir, c’était fantastique.